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Books & Literature
Table ronde: la littérature contemporaine de la Caraïbe
Saturday 25th March 2023 — 2:00pm to 3:00pm
Rejoignez-nous le samedi 25 mars pour une rencontre virtuelle avec les représentants de la nouvelle génération d’écrivaines antillaises : Nadia Chonville, Mérine Céco, et Véronique Kanor. Cet événement est organisé en partenariat avec l'Ambassade de France dans le cadre du Festival de la Francophonie à Washington. La conversation sera entièrement en français.
Cet événement est gratuit et ouvert à tous. Tous les inscrits recevront un lien de connexion quelques jours avant l'événement.
A propos des auteures
Nadia Chonville
Née en 1989, Nadia Chonville est une autrice martiniquaise. Elle choisit le fantastique pour questionner les identités et les crises des sociétés afrodescendantes. Elle enseigne l’histoire et la géographie au lycée Victor Schoelcher et à l’Université des Antilles. Romancière, Nadia Chonville, après Aimé Césaire, Édouard Glissant, Simone Schwarz-Bart, Maryse Condé et Patrick Chamoiseau, fait partie de la nouvelle génération d’écrivains antillais. Elle vit en Martinique.
Merine Ceco
Née en 1970 en Martinique, Mérine Céco suit en parallèle des études de philosophie et de littérature. À 22 ans, elle est agrégée d'espagnol puis docteur en sciences du langage. Élue en janvier 2012 présidente de l'Université Antilles-Guyane, elle en a démissionné en août 2016 pour rejoindre la Sorbonne, à Paris. Les éditions Écriture ont publié La Mazurka perdue des femmes-couresse (2013, prix Gilbert Gratiant), Au revoir Man Tine (2016) et Le Talisman de la présidente (2018).
Véronique Kanor
Véronique Kanor a longtemps travaillé dans les médias avant de prendre un chemin artistique. Dans une perspective décoloniale, elle fouille les terres afro-caribéennes par la photo, la vidéo, l'écriture et les performances scéniques.
A son actif, 3 courts-métrages sur l'identité antillaise (La Noiraude, C’est qui l’homme et La femme qui passe), une dizaine de documentaires radio et télé sur les résistances, un Afromaton mobile qu'elle pose un peu partout pour filmer les identités noires afro-diasporiques. Elle met généralement ses textes en scène à travers des performances de pictdub poetry.